ANALISIS POSKOLONIAL DALAM ROMAN LE ROI DE KAHEL KARYA TIERNO MONÉNEMBO
Zulianisak Zulianisak, Jurusan Pendidikan Bahasa Prancis Fakultas Bahasa dan Seni UNY, Indonesia
Abstract
Cette recherche a pour but: (1) de décrire les éléments intrinsèques tels que l’intrigue, le personnage, l’espace, et le thème et (2) de décrire les éléments du postcolonialisme du roman Le roi de Kahel de Tierno
Monénembo. La méthode appliquée dans cette recherche est la méthode descriptive-qualitative avec la technique d’analyse du contenu. Les résultats de cette recherche reposent sur la base de la validité sémantique. La fiabilité est examinée par la lecture et par l’interprétation du texte de ce roman et également évaluée sous forme de discussions avec un expert afin d'obtenir une fiabilité précise. Les résultats de cette recherche montrent que (1) le roman Le roi de Kahel de Tierno Monénembo a une intrigue progressive présentée à cinq étapes d’action. Le récit est un récit historique et se termine par un fin tragique sans espoir. Le personnage principal est Aimé Olivier de Sanderval, tandis que les personnages supplémentaires sont almâmi Sory et Bôcar-Biro. Le récit est dominant au Fouta-Djalon, en Guinée et dure environ 40 ans, du 29 novembre 1879 au 24 mars 1919. Le cadre social du récit est la vie de la société dans le royaume théocratique du Fouta-Djalon aux débuts du colonialisme français en Afrique de l'Ouest. Le thème majeur de ce roman est la lutte pour le pouvoir, tandis que ses thèmes mineurs comprennent l'exploration, la prise du pouvoir, les conflits internes, et le colonialisme. (2) L'hégémonie dans le contexte postcolonial émerge dans le domaine de (a) l'idéologie, sous forme d’attitude supérieure des français en
imaginant l'Afrique comme nation de cannibales, mystique, sauvage et de conviction des Européens qu’ils sont agents de civilisation émergés dans la figure d'Aimé Olivier, (b) la culture, sous forme d’implantation de chemins de fer, un nouveau moyen de transport de l’Ouest et de construction des logements avec le style et les matériaux de construction de l'Ouest, (c) la sociale, sous forme de discrimination raciale à cause de la haine des hommes blancs pour les indigènes, (d) l'économie, sous forme d'utilisation de la monnaie de l'Ouest comme moyen de paiement, et (e) la politique, sous forme de menaces du gouvernement colonial français à almâmi de signer immédiatement un traité de protectorat. Le mimétisme dans le contexte postcolonial est montré par (a) l’imitation de Mangoné Niang dans la nourriture et la boisson, (b) l’imitation des indigènes de Conakry dans la nourriture, le bâtiment, et l'attitude, (c) l’imitation de Lawrence et des chefs de tribu de la côte dans l'appellation, et (d) l’imitation de Laurent et Mâly dans la langue.
Monénembo. La méthode appliquée dans cette recherche est la méthode descriptive-qualitative avec la technique d’analyse du contenu. Les résultats de cette recherche reposent sur la base de la validité sémantique. La fiabilité est examinée par la lecture et par l’interprétation du texte de ce roman et également évaluée sous forme de discussions avec un expert afin d'obtenir une fiabilité précise. Les résultats de cette recherche montrent que (1) le roman Le roi de Kahel de Tierno Monénembo a une intrigue progressive présentée à cinq étapes d’action. Le récit est un récit historique et se termine par un fin tragique sans espoir. Le personnage principal est Aimé Olivier de Sanderval, tandis que les personnages supplémentaires sont almâmi Sory et Bôcar-Biro. Le récit est dominant au Fouta-Djalon, en Guinée et dure environ 40 ans, du 29 novembre 1879 au 24 mars 1919. Le cadre social du récit est la vie de la société dans le royaume théocratique du Fouta-Djalon aux débuts du colonialisme français en Afrique de l'Ouest. Le thème majeur de ce roman est la lutte pour le pouvoir, tandis que ses thèmes mineurs comprennent l'exploration, la prise du pouvoir, les conflits internes, et le colonialisme. (2) L'hégémonie dans le contexte postcolonial émerge dans le domaine de (a) l'idéologie, sous forme d’attitude supérieure des français en
imaginant l'Afrique comme nation de cannibales, mystique, sauvage et de conviction des Européens qu’ils sont agents de civilisation émergés dans la figure d'Aimé Olivier, (b) la culture, sous forme d’implantation de chemins de fer, un nouveau moyen de transport de l’Ouest et de construction des logements avec le style et les matériaux de construction de l'Ouest, (c) la sociale, sous forme de discrimination raciale à cause de la haine des hommes blancs pour les indigènes, (d) l'économie, sous forme d'utilisation de la monnaie de l'Ouest comme moyen de paiement, et (e) la politique, sous forme de menaces du gouvernement colonial français à almâmi de signer immédiatement un traité de protectorat. Le mimétisme dans le contexte postcolonial est montré par (a) l’imitation de Mangoné Niang dans la nourriture et la boisson, (b) l’imitation des indigènes de Conakry dans la nourriture, le bâtiment, et l'attitude, (c) l’imitation de Lawrence et des chefs de tribu de la côte dans l'appellation, et (d) l’imitation de Laurent et Mâly dans la langue.
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